• 23- La voyance

    Je n'ai jamais voulu utiliser mon don de médium pour faire de la voyance, du moins en professionnelle, et je ne savais pas vraiment comment ça fonctionnait, ainsi que je l'ai expliqué précédemment: http://caroline-pc33.eklablog.fr/recent/13

    Mais je n'hésitais plus à dire que j'étais "un peu voyante à mes heures" avec une certaine ironie, lorsqu'on me demandait "comment je savais". Certaines de mes amies ou des personnes qui travaillaient avec moi prenaient ma déclaration au sérieux et me tendaient spontanément la main pour que je leur dise ce que j'y voyais. En me concentrant un peu, il me venait immédiatement une image ou un mot qui me permettait de répondre à leur attente, et une sensation au niveau du coeur qui orientait mon interprétation. Et nous en discutions, soit pour la rassurer, soit pour avertir  ou prévenir... Parfois, je détectais des secrets que la personne était seule à savoir mais qui pesaient sur sa vie, et elle était soulagée de pouvoir en parler.

     Souvent, on me disait :

    - dis-moi ce que tu vois "pour voir"!

    comme si la voyance pouvait être un exercice de démonstration sans raison ni but! Je répondais immanquablement:

    -comme ça, je ne vois rien!

    et la personne partait convaincue que je ne pouvais rien voir. Je suis certaine que je ne peux rien voir par moi-même, mais que ce sont les Esprits qui m'envoient les images et les ressentis: on ne peut s'amuser à les appeler pour rien! Maintenant, j'évite d'en faire car aussitôt après, il y a des bruits de poltergeists autour de moi qui reviennent, et je n'aime pas ça du tout.

    Je ne voulais rien affirmer de façon péremptoire ou absolue, j'avais toujours un doute sur la provenance de ma vision qui pouvait venir d'un bon ou d'un mauvais Esprit, je ne pouvais pas en juger. Je traitais souvent la question un peu comme un jeu, mais dans tous les cas, je m'efforçais d'être rassurante et optimiste. Parfois j'hésitais à donner une réponse car les images n'étaient pas faciles à interpréter, ou le ressenti était trouble. C'est surtout lorsque l'on traduit ce que l'on voit ou ce que l'on ressent que l'on peut faire des erreurs.

    Ce n'est pas toujours facile d'annoncer ce que l'on pense être une mauvaise nouvelle! Par exemple, une collègue dont le compagnon avait dû partir quelques mois pour son travail en Afrique, était venue me voir pour savoir s'il allait revenir. Immédiatement, j'ai vu l'image d'un village où il n'y avait qu'une large allée boueuse bordée de maisons en bois. Cette vision avait suffi à la convaincre, car  "c'était exactement tout ce qu'elle avait vu de l'Afrique" m'a-elle dit.

    Puis je voyais son compagnon dans une grande maison en bois avec une femme et des enfants, et j'ai senti que cet homme était heureux et qu'il avait un rejet pour sa vie d'avant. J'ai eu la certitude qu'il ne reviendrait pas et je l'ai dit à ma collègue en guettant sa réaction avec une certaine inquiétude. Elle ne fut pas trop surprise car elle s'en doutait, et elle voulait en avoir la confirmation. Sa réponse m'a soulagée!

    Elle m'a demandé ensuite s'il garderait un lien avec elle et sa fille, je vis alors des lettres et j'entendis: 9 ans. Je lui répondis donc qu'il y aurait des échanges de lettres dans neuf ans. Elle comprit immédiatement pourquoi:

    - Ce sera pour pouvoir faire sa demande de retraite car tous ses papiers sont chez moi!

    Mais je retournai la discussion à son avantage en lui disant quelle ne serait pas seule longtemps car elle était encore jeune et belle...ce n'était pas une parole en l'air pour lui faire plaisir, mais une certitude. Par contre, j'étais plus inquiète pour sa fille de 15ans, dont je sentais la déception et la colère contre son père, mais je n'ai pas voulu lui en parler, car c'était une question qu'elle auraient à discuter entre elles: il n'y avait rien à dire ni à faire pour changer ça.

    Ma collègue m'a quittée en me remerciant, rassurée, et en me disant que je lui avais enlevé un poids et que je lui avais remonté le moral! Alors que je craignais de lui annoncer une mauvaise nouvelle! Dans ce cas de voyance, les images que je voyais étaient claires et précises et ne donnaient pas de difficulté d'interprétation.

    Je pense que ce que je vois au bon moment peut être dit sans inquiétude.

    Parfois on ne peut rien dire, malgré ce qu'on ressent, en particulier quand la mort s'approche de quelqu'un: toutes les mises en garde sont inutiles. Je ne m'étais jamais posé la question parce que je savais que les voyants ne l'annonçaient jamais.

    Jusqu'au jour où je rencontrai le petit garçon d'une collègue, un enfant vif et qui cherchait à compenser sa petite taille en se donnant à fond dans tous les jeux "pour gagner", c'est bien le but de n'importe quel jeu, mais lui devait être plus rapide pour ne pas se laisser bousculer par les autres, généralement plus grands et plus forts. Avec ce comportement, il s'était forgé une mentalité de gagneur et il semblait n'avoir peur de rien. De plus c'était un enfant intelligent et attentif en classe. Dès la première fois que je l'ai vu j'ai ressenti une angoisse profonde sans aucune raison apparente, et sur laquelle je ne pouvais mettre aucun nom. Je savais seulement que c'était l'enfant qui me communiquait ce ressenti; tout ce que j'aurais pu dire , c'est que je le sentais en danger par imprudence.

    Pendant les récréations je l'observais sans trop en avoir l'air, mais quand il surprenait mon regard sur lui, il semblait intrigué. Pour le rassurer, je lui souriais. Pourtant au moment où il courait comme un fou après le ballon et qu'il s'approchait de moi comme un boulet de canon, je ne pus m'empêcher de lui dire:

    - Calme-toi, fais attention, tu pourrais te faire mal...

    Il m'a souri gentiment mais a continué son jeu avec la même fougue.  Je me sentais de plus en plus mal à l'aise chaque fois qu'il s'approchait de moi, pourtant je le trouvais adorable, mais je lui en voulais en quelque sorte de ce ressenti qui ne faisait que s'intensifier à son contact. J'avais des envie de le gronder et de lui dire de faire attention à lui, mais il ne faisait rien qui aurait justifié une mise en garde: aucun danger ne le menaçait dans l'école, ça j'en étais certaine. Je me gourmandais intérieurement:

    - ce n'est pas de sa faute, je ne dois rien lui dire, je pense qu'il est en danger, je ne sais pas pourquoi, mais je sais qu'il est trop fou-fou.

    J'en conclus qu'il fallait que j'essaie d'en parler à sa mère, et c'est ce que je fis dès que l'occasion se présenta. Je l'ai  d'abord beaucoup complimenté sur son fils pour mettre en valeur son caractère de fonceur, en citant ses exploits pendant les jeux. Puis j'ai glissé en parlant d'imprudence jusqu'à lui dire que rien ne lui faisait peur, qu'il n'avait aucune limite, et même qu'il m'inquiétait quand je le voyais foncer comme un fou...

    Elle a très mal pris mes paroles, et m'a vite remise à ma place en me disant :

    - tu n'as pas à t'inquiéter pour lui! On sait très bien s'en occuper!

    Je n'ai pas insisté, mais après lui avoir parlé, j'ai senti que le poids que j'avais sur le coeur avait disparu: comme elle me l'avait dit, c'était son problème, pas le mien! Et dès ce jour je cessai d'observer son fils et de chercher à comprendre quelle menace pesait sur lui. Mais j'étais en colère de "savoir" sans pouvoir rien faire!

    Quelques mois plus tard, le garçon est tombé par la fenêtre depuis le neuvième étage de son immeuble! Il s'était assis sur le rebord de la fenêtre de cuisine et s'amusait à faire peur à sa mère en faisant mine de vouloir sauter dès qu'elle voulait s'approcher de lui pour le faire descendre sur le sol de la cuisine. Il a fini par perdre l'équilibre et a fait une chute de près de 25m.

    Je me répétais que c'était son heure et qu'on ne pouvait pas aller contre le destin. pour ne pas culpabiliser de n'avoir rien pu faire! Même si j'avais insisté, je ne pouvais rien dire d'utile à sa mère car je n'avais pas reçu une image pour indiquer de quel côté se trouvait le danger. J'en ai conclu que si on ne me montrait rien de précis qui eut pu prévenir l'accident, c'était parce que cela devait arriver.

    Quoiqu'il en soit, je me torturais trop l'esprit pour envisager de "faire de la voyance" autrement que pour aider quelqu'un, dans une situation particulière et de façon ponctuelle. Cette capacité de ressenti m'a souvent aidée dans mon travail, particulièrement lors d'une situation similaire dans une classe à côté de la mienne. Un élève était monté sur le rebord de la fenêtre près du bureau du maître et menaçait de se jeter par la fenêtre si le maître s'approchait. Depuis ma classe, j'entendais les enfants pousser des cris de peur à l'unisson, à tel point que je jugeai nécessaire d'ouvrir la porte de communication et de m'enquérir de la raison de cette frayeur collective.

    Je vis tout de suite l'enfant accroupi sur la fenêtre, prêt à bondir, et le maître au fond de la classe qui me cria de ne pas m'avancer. Quelques enfant me crièrent: "attention! il va sauter". En un clin d'oeil, j'ai évalué la situation. Sans hésiter, en deux enjambées je franchis la distance qui me séparait de l'enfant, je le saisis fermement par le bras en le tirant pour le faire descendre, et je lui ai dit sévèrement:

    - Tu n'as pas honte de faire peur à toute ta classe? Retourne à ta place!

     L'enfant me regarda avec étonnement. Il avait été surpris par mon irruption dans la classe, et de me voir aussi proche de la fenêtre sur laquelle il était juché : il n'avait pas eu le temps de penser à l'attitude qu'il devait adopter vis-à vis de moi, et il avait été pris de court par la rapidité de mon intervention.

    Le maître vint fermer la fenêtre et en s'approchant de moi, me reprocha mon imprudence. Je lui répondis avec assurance:

    - il n'y avait aucun risque! la preuve!

     Si j'avais eu le moindre ressenti d'un danger, je n'aurais pas bougé et j'aurais tenté de raisonner l'enfant comme le faisait son maître. Mais au contraire, j'ai agi vivement, sans savoir ce qui avait motivé le geste de l'enfant, ni s'il était vraiment déterminé à sauter, mais avec la certitude qu'il ne se passerait rien.

      On peut penser que ce n'est pas à proprement parler de la voyance dans ce cas précis, parce qu'il ne s'était rien passé. Souvent lorsqu'on peut prévenir d'un événement à venir qui peut être évité à condition de changer de projet ou de comportement ou par une intervention ajustée comme je l'avais fait pour cet enfant, on peut se dire qu'il n'y avait rien à craindre puisque ce qui était prévu n'est pas arrivé... c'est la différence entre une prévision et une prédiction:

    Prévenir, c'est guérir, dit-on, prédire c'est maudire!

    Le plus souvent, la personne, même avertie, n'y prête pas trop d'attention, et lorsque l'événement fâcheux se produit comme prévu, elle est étonnée mais convaincue que la voyance est parfois possible. De même si une mère avertit son enfant d'un danger parce qu'elle sait que ce qu'il fait peut le blesser, l'enfant doutera tant qu'il n'aura pas fait lui-même l'expérience, par exemple, du chaud, du piquant, de la chute...

     Je n'ai jamais abordé le sujet de la mort lors d'une voyance et pourtant, cette nuit, j'ai revu "en rêve" un incident, alors que je pensais avoir terminé ma page: j'avais annoncé sa mort à mon mari, un jour que j'étais sous l'effet d'une forte émotion, mais très longtemps à l'avance.

    Mon mari était un conducteur "modèle" qui a toujours respecté les règles du code de la route. Mais il avait une trop grande confiance en lui et ne tenait aucun compte des imprudences ou des erreurs que les autres pouvaient commettre, en particulier lorsqu'une voiture était en train de doubler, en face de lui, jamais il n'a levé le pied  pour décélérer, afin que la voiture doubleuse ait le temps de se ranger sur sa voie. Ce jour là, la voiture qui arrivait sur nous à toute allure nous avait "frôlé" et s'était rangée au dernier moment sans que mon mari n'ait eu l'idée de lever le pied de l'accélérateur. J'ai hurlé de peur tandis que mon mari, buté et sûr de son droit, se moquait de ma frayeur. Lorsque nous nous sommes arrêtés, j'ai éclaté:

    - Est-ce que tu es conscient que tu aurais pu nous tuer? As-tu pensé un seul instant à tes filles en jouant à la roulette russe avec ta voiture? ça passe ou ça casse, et nous avec! tu es content de toi en jouant avec nos vies?

    Tandis que je débitais mon discours, il était plié de rire, et comme d'habitude, il disait d'un ton nonchalant:

    - Mais la voiture avait le temps de se ranger! c'est toi qui as toujours peur de tout!

    Mais ce jour-là, j'étais sûre que "ça arriverait tôt ou tard" et je lui ai martelé ces mots haut et fort et ma voix s'amplifiait à mesure que je parlais:

    - Ecoute-moi bien! Il arrivera un jour où une voiture foncera sur toi, et toi comme d'habitude tu seras sûr d'être "dans ton droit" et tu ne feras rien pour l'éviter! ce qui arrivera sera de ta faute! tu entends ? ce sera à cause de toi! Rappelle-toi ce que je te dis! quand ça arrivera ce sera à cause de toi!

    Je me dressais en face de lui comme un oracle en furie! Mais il riait encore:

    - tu dis des bêtises! ça n'arrivera pas!

     J'insistai avec fermeté:

    - ça arrivera si tu ne changes pas ta façon de conduire!

    En mon fort intérieur, une petite voix me disait:

    - mais pourquoi je dis ça, moi!

     J'avais l'impression que c'était quelqu'un d'autre que moi qui parlait, comme si j'étais dédoublée.

    Ce jour-là, je pris la décision de ne plus jamais monter dans sa voiture! et peu de temps après nous nous sommes séparés. Quinze ans plus tard, mon mari est mort dans un accident de voiture, parce que le conducteur qui arrivait en face s'était endormi au volant, sa voiture déviait sur sa gauche et fonçait sur celle de mon mari à 130 km/h sur une route limitée à 90! Les deux voitures se sont heurtées par l'avant gauche sur une ligne droite! Aurait-il pu l'éviter s'il avait freiné pour laisser la voiture de l'autre conducteur partir dans le décor? L'oracle qui avait parlé par ma bouche, m'avait fait dire qu'il ne ferait rien pour l'éviter et que ce serait à cause de lui!!!

    Je n'avais jamais eu le sentiment que je faisais une prédiction, mais que j'avais lancé un avertissement dont il n'avait pas voulu tenir compte. Quand mes filles partaient en vacances avec lui, j'étais certaine qu'elles ne seraient pas dans sa voiture quand se produirait l'accident, et au fil des années j'avais oublié ce que je lui avais dit.

    Quelques semaines avant sa mort, il craignait de se faire opérer, et voulait que je regarde dans sa main pour savoir si ça se passerait bien car une "sorcière" lui avait prédit sa mort prochaine! J'ai refusé de regarder dans sa main, mais je lui ai dit sans y penser:

    - Fais-toi opérer, tu ne risques rien pour l'opération, ce n'est pas à cause de cela que tu mourras!

    J'ai été aussi surprise que lui par ma réponse! Je n'avais pas essayé de le détromper ni de le rassurer, car en sa présence je ressentais un profond malaise  qui me prenait dans les tripes, comme lorsque le petit garçon qui s'était défenestré s'approchait de moi. Mais en ce qui concernait mon mari, je l'attribuais à des rancoeurs mal digérées, et j'étais incapable d'interpréter correctement mon ressenti.

     La voyance ne peut être possible que lorsque aucun sentiment personnel ne relie la personne à la voyante, sinon tout se mélange. Mais même si j'avais compris que ce ressenti annonçait sa mort, je ne l'aurais jamais dit à mon ex-mari! Ma réponse ne se voulait pas être une prédiction, elle répondait seulement à sa question sur l'opération. Pourtant elle laissait planer le doute sur sa mort prochaine, mais ce n'était pas formulé clairement dans mon esprit. Quoiqu'il en soit, il était trop tard pour lui, car il n'avait rien changé à son comportement.

     

     

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  • Commentaires

    1
    madilys
    Jeudi 27 Novembre 2014 à 16:47

    un véritable don que vous avez en vous.....

    2
    KHAYAM
    Vendredi 28 Novembre 2014 à 16:13

    BONJOUR CAROLINE !


    Mon cousin prêtre disait de moi que j'étais handicapé de la foi !


    Pour lui une foi profonde procure a l'initiateur et à linitié des certitudes !


    Je crois, quand même, que ces convictions n'ont d'effet que quand les deux y croient, là se mêle les causes et les conséquences qui, au début apparaissent comme des instructions plausibles et deviennent des réalités plus ou moins imposées.


    Mais j'avoue que je regrette mon évolution vers cartésianisme, j'aurais préférer être plus rêveur, plus crédule quoi !


    Bisous Caro !

    3
    Vendredi 28 Novembre 2014 à 21:46

    Bonsoir Caroline,je suis passée sur ce blog te faire un petit coucou.Comment va ton Bouboule? Justement si tu passes sur mon blog tu verras l'article que j'ai fait avec toi et Bouboule.Il est marrant avec son tee-shirt mais ça le protège de sa verrue sur son dos.Prisca en a aussi dû à l'âge.Passes une bonne fin de semaine,bisous

    4
    Vendredi 28 Novembre 2014 à 23:20

    Re-moi, quand nous avons passé la journée ensemble tu nous en a parlé de ce don.Mais je repense quand tu as prévenu la mère pour l'avertir que son fils était un peu trop rapide et qui a fini par tomber par la fenêtre. Que vois-tu pour Pat va-t'il retrouver quelque chose???

    Tu seras rassurée pour Bouboule quand tu auras les résultats.J'ai eu un chien qui avait comme lui le foie malade mais si il a traitement que le véto lui a prescrit plus ce que tu lui donnes à manger il devrait aller mieux ce que je lui souhaite.Prisca ne veut plus beaucoup sortir maintenant sauf si nous sommes tous les deux ,on voit elle fatigue beaucoup.Bonne nuit,bises et caresse à Bouboule

    5
    Samedi 29 Novembre 2014 à 09:26

    Bonjour Martine, je ne m'essaierai pas à la voyance par correspondance mais je suis optimiste pour lui, merci de ta viisite, bises

    6
    Mardi 9 Décembre 2014 à 17:33
    Cathybelg

    Bonjour Caroline,

    Je profite d'avoir un peu de temps aujourd'hui pour passer ici.

    Cet article est impressionnant. J'ai été troublée par ta vision concernant ce couple et l'Afrique... Tout est juste dans ce que tu perçois.

    Ce qui me trouble aussi, ce sont les ressentis que tu as après certains échanges pour des prédictions.

    Cela me fait penser à mon ami magnétiseur (décédé maintenant) qui était épuisé après chaque séance de magnétisme tant il faisait passer d'énergie !

    S'agissant du lien qui t'unit à celui ou celle qui "consulte" ou pour qui tu tentes de voir, je ne suis pas étonnée qu'il vaille mieux éviter lorsque cette personne est trop proche de toi.

    Sacré don en tout cas !

    Merci pour ce partage.

    Bisous,

    Cathy.

    7
    Samedi 9 Juillet 2022 à 00:10

    Bonjour,

    Vous êtes vraiment chanceuse d'avoir un don de voyance. Tous le monde aimerait l avoir.

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